Toute la pièce n’est qu’une mélodie dont le langage rythmique est quelques fois tiré de la rythmique balinaise. Un hommage avec des souvenirs de cette île. La fin de l’œuvre est en fait une citation exacte du « panjit prana », danse d’offrance du legong.
J’ai voulu une œuvre simple : monochrome, une pièce courte et surtout pleine de joie, alternent les mélodies seules — « intervalisées » — et les mélodies complémentaires à la façon des Balinais. C’est une musique d’enfant…