\r\nLa première génération qui entre de plein droit dans la base est donc celle constituée par John Cage, Olivier Messiaen ou encore Elliott Carter.\r\n\u003C/p>\r\n\r\n\u003Ch3>Contenus\u003C/h3>\r\n\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nLes données sont progressivement mises à jour depuis juillet 2007, en remplacement de celles de l’ancienne version de la base, développée entre 1996 et 2001 par Marc Texier. L’information peut donc être incomplète pour certains compositeurs non encore traités : dans ce cas l’indication « ! Informations antérieures à 2002 » apparaît en haut de page. Pour tous les autres documents, la date de dernière mise à jour est indiquée en haut de page.\r\n\u003C/p>\r\n\r\n\u003Ch3>Mises à jour et nouvelles entrées\u003C/h3>\r\n\r\n\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">Les mises à jour se font compositeur par compositeur. Pour un compositeur donné, sont systématiquement revus ou créés les documents suivants :\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cul style=\"text-align: justify;\">\r\n \u003Cli>la biographie\u003C/li>\r\n \u003Cli>le catalogue exhaustif de ses œuvres (y compris, si possible, les œuvres disparues, retirées ou posthumes)\u003C/li>\r\n \u003Cli>une liste de ressources bibliographiques, discographiques et internet,\u003C/li>\r\n \u003Cli>des éventuels documents attachés (Parcours de l’œuvre, interviews, analyses, notes de programme etc.)\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nLa définition des priorités de mises à jour et nouvelles entrées des compositeurs s’opèrent suivant une méthodologie basée sur l’observation de la vie culturelle européenne :\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cul style=\"text-align: justify;\">\r\n \u003Cli>Avant chaque saison, nous relevons les programmations à venir des principaux festivals, institutions et ensembles musicaux européens investis dans le domaine de la création musicale. Cette observation s’opère par cercles concentriques en partant de l’activité propre de l’Ircam (année n-2), puis de celle des partenaires privilégiés (année n-1) jusqu’aux grandes institutions et festivals européens de création (année n) ;\u003C/li>\r\n \u003Cli>Chaque compositeur est crédité de points en fonction de l’importance et de l’intensité de l’activité musicale le concernant. Ce classement permet de définir les priorités pour chaque trimestre ;\u003C/li>\r\n \u003Cli>Si un compositeur n’a pas obtenu assez de points pour figurer dans les priorités, il cumule ceux-ci sur le trimestre suivant ; et ainsi remonte progressivement dans la liste des priorités.\u003C/li>\r\n \u003Cli>Une fois mis à jour, les documents attachés à un compositeur sont valables trois ans, après lesquels le processus décrit ci-dessus reprend.\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\t\r\n\r\n\u003Ch3>Erreurs ou omissions\u003C/h3>\t\r\n\t\t\t\t\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nSi la mise à jour est déjà effectuée (date postérieure à juin 2007) : nous invitons les musicologues, les compositeurs (ou leur éditeur) à nous signaler toute erreur ou omission importante. Elle sera corrigée, dans la mesure du possible, au cours du trimestre suivant. De même, nous les invitons à nous faire connaître leurs œuvres nouvelles, en mentionnant tous les éléments nécessaires à la création d’une fiche œuvre nouvelle.\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\t\t\r\nSi la mise à jour n’est pas encore effectuée (indication : « mise à jour à venir ») : Les compositeurs peuvent nous signaler des erreurs ou omissions importantes. Ces indications seront prises en compte au moment de la mise à jour à venir. Un compositeur peut également demander le retrait de sa biographie dans l’attente de la mise à jour.\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nPour cela : \u003Ca href=\"mailto:brahms-contenu[at]ircam[dot]fr\">écrire\u003C/a> à l’administrateur de publication\r\n\u003C/p>\r\n",{"id":14,"url":15,"titleFr":16,"titleEn":11,"contentFr":17,"contentEn":11},"a3cd05aa-3447-487a-b4fc-213ba0f77e6b","/copyrights/","Mention Légale","La reproduction de contenus de ce site Web, en tout ou partie, est formellement interdite sans la permission écrite de l'Ircam. Les textes, images, logos, codes sources sont la propriété de l'Ircam, ou de détenteurs avec lesquels l'Ircam a négocié les droits de reproduction à sa seule fin d'utilisation dans le cadre du site Brahms. Tout contrevenant s'expose à des poursuites judiciaires. ",{"id":19,"url":20,"titleFr":21,"titleEn":11,"contentFr":22,"contentEn":11},"9162642e-ea99-48c3-8d3b-2dc2a3f8ba45","/repertoire/about/","Projet Répertoire Ircam","\u003Cp>Le Projet Répertoire Ircam est une collection d’analyses musicales en ligne d’environ 70 œuvres crées à l’Ircam et considérées comme représentatives de la culture de l’institut tant sur le plan artistique que technologique.\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cp>Ce projet a débuté en 2006-2008 avec la création d’outils auteurs mises en œuvre par le département Interfaces Recherche/Création en collaboration avec le secteur recherche de l’institut. Les premières analyses ont été mises en ligne fin 2010 et il est prévu que la collection s’élargisse à un rythme de deux ou trois nouvelles analyse par an.\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cp>Plusieurs objectifs sont poursuivis par ce projet :\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cul>\r\n\t\u003Cli>faire connaître les œuvres produites à l’Ircam à un public plus large,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>montrer la relation entre l’idée musicale et les technologies utilisés,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>identifier les nouveaux éléments du vocabulaire musical qui émergent à travers ces œuvres,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>offrir un support d’information aux interprètes.\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\r\n\r\n\u003Cp>Chaque analyse est structurée en trois parties :\u003C/p>\r\n\r\n\u003Col>\r\n\t\u003Cli>description générale de l’œuvre,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>analyse des extraits de l’œuvre avec mise en relation de l’idée musicale et de l’écriture électronique,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>la liste de ressources spécifiques (type de problème musical abordé, technologies utilisées, œuvres abordant le même type de problématique) et générales (biographique, historique, technique).\u003C/li>\r\n\u003C/ol>\r\n\r\n\u003Cp>Les analyses seront également mises en relation avec :\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cul>\r\n\t\u003Cli>Brahms : une base de données encyclopédique en ligne de compositeurs de musique contemporaine de toutes les nationalités dont les œuvres ont été créées après 1945. Cette base contient actuellement environ 600 références. Pour chaque compositeur, il y a une partie biographique accompagnée des sources d’information, et une autre partie qui situe l’orientation esthétique, les phases principales et le contexte historique de l’œuvre.\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>Images d’une œuvre : une collection des interviews filmés des compositeurs.\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>Sidney : une base de données qui contient les éléments techniques (programmes informatiques, sons etc. ) nécessaires pour l’exécution de l’œuvre.\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\r\n\r\n\u003Cp>A plus long terme, les analyses des nouvelles œuvres créés à l’Ircam viendront se rajouter au corpus donné dans l’annexe citée ci-dessus.\u003C/p>",{"data":24},{"personBySlug":25},{"firstName":26,"lastName":27,"privateState":28,"biographyDate":29,"resume":30,"resumeEn":31,"resources":32,"catalogueSource":33,"manualUpdateDate":34,"documents":11,"photo":35,"copyrights":37,"slug":38,"hasArticles":39,"type":40,"hasWorks":41,"hasBiography":41,"hasWorkcourse":41,"workcourse":42,"hasAnalyses":39,"hasBooks":39,"hasMonographs":39,"hasPartitions":39,"hasFloraAudios":39,"hasAudios":39,"hasVideos":39},"Ennio","Morricone","valid","2019-01-22T00:00:00.000Z","Compositeur italien né à Rome le 10 novembre 1928 et mort le 6 juillet 2020 dans cette même ville.","Italian composer born 10 November 1928 in Rome; died 6 July 2020 in the same city.","\u003Ch4 id=\"bibliographie\">Bibliographie\u003C/h4>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>Ennio MORRICONE et Sergio MICELI, \u003Cem>Comporre per il cinema. Teoria e prassi della musica per film\u003C/em>, Venise, Marsilio, 2001.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, \u003Cem>Lontano dai sogni. Conversazioni con Antonio Monda\u003C/em>, Milan, Mondadori, 2010.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, \u003Cem>Nuova antologia Morricone\u003C/em>, Milan, Volontè & Co, 2010.\u003C/li>\u003Cli>Donatella CARAMIA, \u003Cem>La musica e oltre. Colloqui con Ennio Morricone\u003C/em>, Brescia, Morcelliana, 2012.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, \u003Cem>Inseguendo quel suono. La mia musica, la mia vita. Conversazioni con Alessandro De Rosa\u003C/em> , Milan, Mondadori, 2016 ; \u003Cem>Ma musique, ma vie\u003C/em>, Paris, Séguier, 2018.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Nuova Consonanza. Trent’anni di musica contemporanea in Italia (1959-1988)\u003C/em>, sous la direction de Daniela Tortora, Lucques, LIM, 1990.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Norme con ironie. Scritti per i settant’anni di Ennio Morricone\u003C/em>, sous la direction de Sergio Miceli, Milan, Suvini Zerboni, 1998.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Morricone. Cinema e oltre-Cinema and more\u003C/em> , sous la direction de Gabriele Lucci, Milan, Mondadori / Electa, 2007.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ennio Morricone\u003C/em>, sous la direction de Guido Heldt, Tarek Krohn, Peter Moormann et Willem Strank, Munich, Et+k, 2014.\u003C/li>\u003Cli>Roberto CALABRETTO, \u003Cem>Pasolini e la musica\u003C/em>, Pordenone, Cinemazero, 1999.\u003C/li>\u003Cli>Roberto CALABRETTO, \u003Cem>Lo schermo sonoro\u003C/em>, Venise, Marsilio, 2010.\u003C/li>\u003Cli>Franco LA MAGNA et Mario PATANÈ, \u003Cem>La magia di Morricone\u003C/em>, Reggio Calabria, Città del Sole, 2007.\u003C/li>\u003Cli>Charles LEINBERGER, \u003Cem>Ennio Morricone’s\u003C/em> The Good, the Bad and the Ugly \u003Cem>:\u003C/em> \u003Cem>A Film Score Guide\u003C/em>, Maryland, Scarecrow Press, 2004.\u003C/li>\u003Cli>Sergio MICELI, \u003Cem>Morricone, la musica, il cinema\u003C/em>, Milan / Modène, Ricordi / Mucchi, 1994.\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Ch4 id=\"filmographie\">Filmographie\u003C/h4>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>Federico et Francesco DE MELIS, \u003Cem>Ennio Morricone\u003C/em> \u003Cem>:\u003C/em> \u003Cem>la musica negli occhi\u003C/em> (1990).\u003C/li>\u003Cli>David THOMPSON, \u003Cem>Ennio Morricone\u003C/em> (1995).\u003C/li>\u003Cli>Matthias KELLER, \u003Cem>Maestro Ennio Morricone. Komponist\u003C/em> (2004).\u003C/li>\u003Cli>Claude GONZALES, \u003Cem>In Conversation with Ennio Morricone\u003C/em> (2012).\u003C/li>\u003Cli>Giuseppe TORNATORE, \u003Cem>Ennio\u003C/em> (2021).\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Ch4 id=\"sites-internet\">Sites internet\u003C/h4>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>Ennio Morricone Official Website. The Man, the Music, the Artist : \u003Ca href=\"http://www.enniomorricone.org\">http://www.enniomorricone.org\u003C/a>\u003C/li>\u003Cli>The Ennio Morricone Online Community : \u003Ca href=\"http://www.chimai.com\">http://www.chimai.com\u003C/a>\u003C/li>\u003Cli>Cinematografo. Il portale del cinema. Ennio Morricone : \u003Ca href=\"https://www.cinematografo.it/cinedatabase/cast/ennio-morricone/86449\">https://www.cinematografo.it/cinedatabase/cast/ennio-morricone/86449 \u003C/a>\u003C/li>\u003Cli>Internet Movie Database, Ennio Morricone : \u003Ca href=\"https://www.imdb.com/name/nm0001553\">https://www.imdb.com/name/nm0001553 \u003C/a>\u003C/li>\u003Cli>Enciclopedia del cinema Treccani. Ennio Morricone : \u003Ca href=\"http://www.treccani.it/enciclopedia/ennio-morricone_%28Enciclopedia-del-Cinema%29\">http://www.treccani.it/\u003C/a>\u003C/li>\u003Cli>CIDIM Banca Dati Compositori Italiani : \u003Ca href=\"http://www.cidim.it/cidim/content/109\">http://www.cidim.it/cidim/content/109 \u003C/a>\u003C/li>\u003Cli>Quelques entretiens du compositeur se trouvent sur les sites : \u003Ca href=\"http://www.teche.rai.it\">http://www.teche.rai.it\u003C/a> et \u003Ca href=\"https://www.raiplay.it\">https://www.raiplay.it\u003C/a>\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp> \u003C/p>\n\u003Cp>\u003Cem>(liens vérifiés en septembre 2019).\u003C/em>\u003C/p>\n\u003Ch4 id=\"discographie-s-lective-\">Discographie (sélective)\u003C/h4>\n\u003Ch5 id=\"-miscellanee-\">\u003Cem>Miscellanee\u003C/em>\u003C/h5>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Morricone. The Sacred and the Profane\u003C/em>, CD BMG Ricordi, 74321-716392, 1999.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Best of Ennio Morricone\u003C/em>, CD BMG, BVCM 37326, 2000.\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Ch5 id=\"musiques-de-film\">Musiques de film\u003C/h5>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>The Best of Ennio Morricone\u003C/em>, vol. 1, \u003Cem>Original Soundtrack Collection\u003C/em>, CD Ricordi, MLR 664, 2004.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Best of Ennio Morricone\u003C/em>, vol. 2, \u003Cem>Original Soundtrack Collection\u003C/em>, CD Ricordi, MLR 715, 2007.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Best of Ennio Morricone\u003C/em>, vol. 3, \u003Cem>Original Soundtrack Collection\u003C/em>, CD Ricordi, MLR 716, 2007.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Best Music of Ennio Morricone\u003C/em>, 3CD Music in Art, MIA305, 2008.\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Ch5 id=\"musiques-de-film-par-r-alisateur\">Musiques de film, par réalisateur\u003C/h5>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Ennio Morricone per Pier Paolo Pasolini\u003C/em>, CD RCA, OST130, 1996.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Argento Vivo\u003C/em>, CD Cinevox, CDMDF337, 2000.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le musiche di Ennio Morricone per il cinema di Giuseppe Tornatore\u003C/em>, CD GDM, Edel 2047, 2004.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ennio Morricone. Complete Sergio Leone Movies\u003C/em>, 5CD Recording Arts, 5X056, 2012.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Quentin Tarantino Unchained Movies. The Complete Ennio Morricone Scores\u003C/em>, eStore-Album Recording Arts, 2014.\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Ch5 id=\"musique-pure\">Musique pure\u003C/h5>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Gestazione – Totem secondo\u003C/em>, LP RCA Red Seal, RL 31650, 1982.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Musiche da camera\u003C/em>, 2 LPs RCA, RL 70761, 1985.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Vidi Aquam, id est Benacum\u003C/em>, CD-ROM New Sounds, VDNA 01, 1994.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Pier Paolo Pasolini\u003C/em>, BMG Ricordi, 74321-27043-2, 1995.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Symphony Music\u003C/em>, CD Compagnia Nuove Indye, CNDL 14233, 2002.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Musica Assoluta\u003C/em>, vol. 1, CD OCL 007, 2009.\u003C/li>\u003Cli>Groupe d’improvisation \u003Cem>Nuova Consonanza\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Azioni 1967-1969\u003C/em>, 2CD Die Schachtel, DS13, 2006.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Eroina\u003C/em>, CD Cometa, CMT 10024, 2011.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Musica su schemi\u003C/em>, LP Superior Viaduct, SV 015, 2013.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Improvvisazioni a formazioni variate\u003C/em>, CD GDM, 4402, 2016.\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Ch5 id=\"chansons\">Chansons\u003C/h5>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>The Ennio Morricone Pop Collection\u003C/em>, vol. 1, eStore-Album Lumi Entertainment, 718356777, 2013.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Ennio Morricone Pop Collection\u003C/em>, vol. 2, eStore-Album Lumi Entertainment, 718330759, 2013.\u003C/li>\u003C/ul>\n","\u003Cp>\u003Cstrong>Musique de scène pour le théâtre\u003C/strong> (Les astéristiques indiquent la présence de musiques de Morricone avec des arrangements de chansons qu’il a lui-même composées ou qui ont été composées par d’autres.)\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Caccia ai corvi\u003C/em> (1962) d’Anton Giulio Majano\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Concerto apocalittico per grilli, margherite, blatta e orchestra\u003C/em> (1999) de Stefano Benni (avec Luca Francesconi)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il lieto fine\u003C/em> (1959) de Luciano Salce\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>L’amore delle tre melarance\u003C/em> (1966) de Silvano Agosti\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La fidanzata del bersagliere\u003C/em> (1963) de Paolo Ferrero*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La Manfrina\u003C/em> (1964) de Ghigo de Chiara\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La pappa reale\u003C/em> (1959) de Luciano Salce\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le femmine puntigliose\u003C/em> (1978) de Giuseppe Patroni Griffi\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Non approfondire\u003C/em> (1961) d’Enzo Trapani\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Orgia\u003C/em> (1968) de Pier Paolo Pasolini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Rascelinaria\u003C/em> (1960) de Pietro Garinei et Sandro Giovannini (avec Renato Rascel)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Riccardo III\u003C/em> (2013) de Massimo Ranieri\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Rinaldo in campo\u003C/em> (1961) de Pietro Garinei et Sandro Giovannini (avec Domenico Modugno)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Rose caduche\u003C/em> (1979) de Luisa Mariani\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Tommaso d’Amalfi\u003C/em> (1963) d’Eduardo de Filippo (avec Domenico Modugno)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Mission. Heaven on Earth\u003C/em> (2011) de Stefano Genovese (avec Andrea Morricone)\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>Morricone a aussi travaillé comme « trompettiste-compositeur » dans la compagnie de Renzo Ricci et Eva Magni pour des représentations de théâtre shakespearien.\u003C/p>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Œuvres avec le Groupe d’improvisation Nuova Consonanza\u003C/strong> (Morricone est ici compositeur, arrangeur et interprète. Les titres font référence aux gravures discographiques)\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Contemporaneamente\u003C/em> (1971)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> (1967)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> (1975)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Azioni 1967-69\u003C/em> (1967)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Azioni / Reazioni 1967-69\u003C/em> (1967)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Eroina\u003C/em> (1971)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Eroina\u003C/em> (1971)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Improvisationen\u003C/em> (1969)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Improvvisazioni a formazioni variate\u003C/em> (1969)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Improvvisazioni a formazioni variate\u003C/em> (1969)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Musica su schemi\u003C/em> (1976)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza\u003C/em> \u003Cem>– Niente\u003C/em> (1971)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Inconsueto grottesco\u003C/em> (1971)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Nuova Consonanza\u003C/em> (1969)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Group\u003C/em> \u003Cem>– The Feed-Back\u003C/em> (1970)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Zeitgenössische Musik II\u003C/em> (1969)\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Musiques pour le cinéma\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cp>Voir la liste des compositions d'Ennio Morricone pour film sur \u003Ca href=\"https://www.imdb.com/name/nm0001553/\">IMDb\u003C/a>.\u003C/p>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Musiques pour films restaurés\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>La Poupée\u003C/em> (\u003Cem>Die Puppe\u003C/em>) (1919) d’Ernst Lubitsch\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La Dame aux camélias\u003C/em> (\u003Cem>La signora delle camelie\u003C/em>) (1915) de Gustavo Serena\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Richard III\u003C/em> (1912) d’André Calmettes et James Kane\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Arrangements de musiques de film pour d’autres compositeurs\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Les Égarés\u003C/em> (\u003Cem>Gli sbandati\u003C/em>) (1955) de Francesco Maselli. Musiques de Giuseppe Fusco\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La Mort d’un ami\u003C/em> (\u003Cem>Morte di un amico\u003C/em>) (1960) de Franco Rossi. Musiques de Mario Nascimbene\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le Jugement dernier\u003C/em> (\u003Cem>Il Giudizio universale\u003C/em>) (1961) de Vittorio De Sica. Musiques d’Alessandro Cicognini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Barabbas\u003C/em> (\u003Cem>Barabba\u003C/em>) (1961) de Richard Fleischer. Musiques de Mario Nascimbene\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Musique de films à épisodes\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>12 registi per 12 città\u003C/em>. Épisode \u003Cem>Udine\u003C/em> (1989) de Gillo Pontecorvo et \u003Cem>Firenze\u003C/em> (1989) de Franco Zeffirelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Où es-tu allé en vacances ?\u003C/em> (\u003Cem>Dove vai in vacanza?\u003C/em>). Épisode \u003Cem>Sarò tutta per te\u003C/em> (1978) de Mauro Bolognini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le Dimanche de préférence\u003C/em> (\u003Cem>La domenica specialmente\u003C/em>). Épisode \u003Cem>Il cane blu\u003C/em> (1991) de Giuseppe Tornatore (avec Andrea Morricone)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Les Sorcières\u003C/em> (\u003Cem>Le streghe\u003C/em>). Épisode \u003Cem>La terra vista dalla luna\u003C/em> ( \u003Cem>La Terre vue de la lune\u003C/em>) (1967) de Pier Paolo Pasolini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le streghe.\u003C/em> Épisode \u003Cem>Una sera come le altre\u003C/em> (1967) de Vittorio De Sica\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Thrilling\u003C/em> (1965) de Carlo Lizzani, Gian Luigi Polidori et Ettore Scola\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Musique pour le cinéma d’animation\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Aida degli Alberi\u003C/em> (2001) de Guido Manuli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le Tour du monde des amoureux de Peynet\u003C/em> (\u003Cem>Il giro del mondo degli innamorati di Peynet\u003C/em>) (1974) de Cesare Perfetto\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ten to Survive\u003C/em> (1979) d’Arnoldo Farina et Giancarlo Zagni (avec des musiques de Luis Bacalov, Franco Evangelisti, Egisto Macchi et Nino Rota)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Greatness\u003C/em> (2010) de Yi Zhou\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Musique pour la télévision\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cp>Téléfilms\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>1943: un incontro\u003C/em> (1969) d’Alfredo Giannetti\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>C. A. T. Squad: Python Wolf\u003C/em> (1988) de William Friedkin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gli angeli del potere\u003C/em> (1988) de Giorgio Albertazzi\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ics. L’amore ti dà un nome\u003C/em> (2003) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>I guardiani del cielo\u003C/em> (1999) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il Cuore nel Pozzo\u003C/em> (2005) d’Alberto Negrini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il ladrone\u003C/em> (1980) de Pasquale Festa Campanile\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il Papa buono. Giovanni XXIII\u003C/em> (2003) de Ricky Tognazzi\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il prigioniero\u003C/em> (1978) d’Aldo Lado\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>In fondo al cuore\u003C/em> (1997) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Karol. Un uomo diventato Papa\u003C/em> (2005) de Giacomo Battiato\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Karol. Un Papa rimasto uomo\u003C/em> (2006) de Giacomo Battiato\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La casa bruciata\u003C/em> (1997) de Massimo Spano\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La provinciale\u003C/em> (2006) de Pasquale Pozzesere\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La sciantosa\u003C/em> (1971) d’Alfredo Giannetti\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Lo squarciagola\u003C/em> (1966) de Luigi Squarzina\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>L’automobile\u003C/em> (1972) d’Alfredo Giannetti\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Lucia\u003C/em> (2005) de Pasquale Pozzessere\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Maria Goretti\u003C/em> (2003) de Giulio Base\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Memories of Anne Frank\u003C/em> (2009) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Missus\u003C/em> (1995) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Morte di una ragazza perbene\u003C/em> (1999) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Nanà\u003C/em> (2001) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Noi lazzaroni\u003C/em> (1978) de Giorgio Pelloni\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Padre Pio. Tra cielo e terra\u003C/em> (2000) de Giulio Base\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Pane e libertà\u003C/em> (2008) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Paolo Borsellino. I 57 giorni\u003C/em> (2012) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Perlasca, un eroe italiano\u003C/em> (2002) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Un difetto di famiglia\u003C/em> (2002) d’Alberto Simone\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Voyage of Terror: The Achille Lauro Affair\u003C/em> (1991) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Wer war Edgar Allan?\u003C/em> (1984) de Michael Haneke\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>Séries TV\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Alle origini della mafia\u003C/em> (1976) d’Enzo Muzii (avec Nino Rota et Gino Marinuzzi Jr)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Cefalonia\u003C/em> (2005) de Riccardo Milani\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Come un delfino\u003C/em> (2012) de Stefano Reali\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Come un delfino. Seconda stagione\u003C/em> (2013) de Stefano Reali\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Geminus\u003C/em> (1969) de Luciano Emmer\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gino Bartali. L’intramontabile\u003C/em> (2006) d’Alberto Negrini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Giovanni ed Elviruccia\u003C/em> (1970) de Paolo Panelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Giovanni Falcone, l’uomo che sfidò Cosa Nostra\u003C/em> (2006) d’Antonio et Andrea Frazzi\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gli indifferenti\u003C/em> (1988) de Mauro Bolognini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>I promessi sposi\u003C/em> (1989) de Salvatore Nocita\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il Barone\u003C/em> (1995) d’Enrico Maria Salerno et Richard T. Heffron\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il principe del deserto\u003C/em> (1991) de Duccio Tessari\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il segreto del Sahara\u003C/em> (1988) d’Alberto Negrin (la bande-son contient certaines musiques composées pour \u003Cem>La Bible\u003C/em> (\u003Cem>The Bible: In the Beginning\u003C/em>) de John Huston (1966), mais non utilisées dans le film)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La piovra 2\u003C/em> (1986) de Florestano Vancini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La piovra 3\u003C/em> (1987) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La piovra 4\u003C/em> (1989) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La piovra 5. Il cuore del problema\u003C/em> (1990) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La piovra 6. L’ultimo segreto\u003C/em> (1992) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La piovra 7. Indagine sulla morte del commissario Cattani\u003C/em> (1995) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>La piovra 10\u003C/em> (2001) de Luigi Perelli\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le mani sporche\u003C/em> (1978) d’Elio Petri\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>L’isola\u003C/em> (2012) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>L’ultimo dei Corleonesi\u003C/em> (2007) d’Alberto Negrin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Marco Polo\u003C/em> (1982) de Giuliano Montaldo\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Mosè, la legge del deserto\u003C/em> (1974) de Gianfranco De Bosio (avec Dov Selzer, co-auteur de la pièce intitulée « \u003Cem>Tema di Mosè\u003C/em> »)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Musashi\u003C/em> (2003) de Mitsunobi Ozaki\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Nella città vampira\u003C/em> (1977) de Giorgio Bandini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Nostromo\u003C/em> (1996) d’Alastair Reid\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Orient Express (1979)\u003C/em> de Daniele D’Anza, Marcel Moussy et Bruno Gantillon\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ultimo. L’occhio del falco\u003C/em> (2012) de Michele Soavi\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Piazza di Spagna\u003C/em> (1993) de Florestano Vancini\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Space 1999\u003C/em> (1975) de Lee H. Katzin*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Endless Game\u003C/em> (1989) de Bryan Forbes\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Life and Times of David Lloyd George\u003C/em> (1981) de John Hefin\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>The Scarlet and the Black\u003C/em> (1983) de Jerry London\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Tre donne\u003C/em> (1971) d’Alfredo Giannetti\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ultimo\u003C/em> (1998) de Stefano Reali\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ultimo 2. La sfida\u003C/em> (1999) de Michele Soavi (avec Morricone)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Una storia italiana: gli Abbagnale\u003C/em> (1993) de Stefano Reali\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Via Mala\u003C/em> (1985) de Tom Toelle\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>Variétés TV\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>14 Festival della canzone italiana di San Remo\u003C/em> (1964) de Gianni Ravera*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Biblioteca di Studio Uno\u003C/em> (1964) d’Antonello Falqui*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Cinema concerto\u003C/em> (1976) de Sandro Spina (Morricone est l’auteur du générique)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gente che va, gente che viene\u003C/em> (1960) d’Enzo Trapani*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Gran varietà\u003C/em> (1968)*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Italiques\u003C/em> (1974) de Pierre Boursaus\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Le canzoni di tutti\u003C/em> (1958) de Mario Landi * (avec Franco Pisano)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ma l’amore no\u003C/em> (1964) de Romolo Siena*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Mare contro mare\u003C/em> (1965) de Romolo Siena et Lino Procacci\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Musica da sera\u003C/em> (1967) d’Enzo Trapani\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Musica Hotel (1964)\u003C/em> d’Enzo Trapani*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>’Ndringhete ‘ndra\u003C/em> (1963) de Romolo Siena*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Piccolo concerto\u003C/em> d’Enzo Trapani (1961)\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Rotocarlo\u003C/em> (1965) de Mario Landi*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Senza fine\u003C/em> (1965) de Vito Molinari*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Smash\u003C/em> (1963) d’Enzo Trapani*\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Stasera Rita\u003C/em> (1965) d’Antonello Falqui*\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>Télé-théâtre\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>I drammi marini\u003C/em> (1962) de Mario Landi\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il teatro di Eduardo. Filumena Marturano\u003C/em> (2010) de Massimo Ranieri et Franza Di Rosa\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il teatro di Eduardo. Napoli milionaria!\u003C/em> (2011) de Massimo Ranieri et Franza Di Rosa\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il teatro di Eduardo. Questi fantasmi\u003C/em> (2011) de Massimo Ranieri et Franza Di Rosa\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Il teatro di Eduardo. Sabato, domenica e lunedì\u003C/em> (2012) de Massimo Ranieri et Franza Di Rosa\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>Présence comme acteur\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>Ils vont tous bien !\u003C/em> (\u003Cem>Stanno tutti bene\u003C/em>) (1990) de Giuseppe Tornatore\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Chansons comme compositeur\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>Joan Baez, \u003Cem>The Ballad of Sacco & Vanzetti\u003C/em>, texte de Joan Baez (1971) ; \u003Cem>Here’s to You\u003C/em>, texte de Joan Baez (1971)\u003C/li>\u003Cli>Sergio Endrigo, \u003Cem>Canzone della libertà\u003C/em>, texte de Luciano Lucignani (1968) ; \u003Cem>Filastrocca vietnamita\u003C/em>, texte de Leonardo Settimelli et Sergio Endrigo (1968) ; \u003Cem>Una breve stagione\u003C/em>, texte de Sergio Bardotti et Sergio Endrigo (1969)\u003C/li>\u003Cli>Elio Gandolfi, \u003Cem>I giorni tuoi, le notti mie\u003C/em>, texte de Gianni Meccia (1969)\u003C/li>\u003Cli>Alberto Lionello, \u003Cem>La donna che vale\u003C/em>, texte de Luciano Salce (1959)\u003C/li>\u003Cli>Maysa Matarazzo, \u003Cem>Vai via malinconia\u003C/em>, texte de Sergio Bardotti (1967)\u003C/li>\u003Cli>Milva (Maria Ilva Biolcati), \u003Cem>Quattro vestiti\u003C/em>, texte de Franco Migliacci (1962)\u003C/li>\u003Cli>Mina (Anna Maria Mazzini), \u003Cem>Se telefonando\u003C/em>, texte de Ghigo Di Chiara et Maurizio Costanzo (1966)\u003C/li>\u003Cli>Dino et Anna Moffo, \u003Cem>Ho messo gli occhi su di te\u003C/em>, texte de Sergio Bardotti (1965)\u003C/li>\u003Cli>Rita Pavone, \u003Cem>Pel di carota\u003C/em>, texte de Franco Migliacci (1962)\u003C/li>\u003Cli>Pierfilippi (Adolfo Filippi), \u003Cem>Le cose più importanti\u003C/em>, texte de Sergio Bardotti (1965)\u003C/li>\u003Cli>Renato Rascel, \u003Cem>Scirocco\u003C/em>, texte de Ghigo De Chiara (1964)\u003C/li>\u003Cli>Catherine Spaak, \u003Cem>Penso a te\u003C/em>, texte de Franco Migliacci (1964)\u003C/li>\u003Cli>Catherine Spaak, \u003Cem>Questi vent’anni miei\u003C/em>, texte de Forti et Castoldo (1965)\u003C/li>\u003Cli>Luigi Tenco, \u003Cem>Quello che conta\u003C/em>, texte de Luciano Salce (1962) (extrait du film \u003Cem>La cuccagna\u003C/em> de Luciano Salce (1962))\u003C/li>\u003Cli>Edoardo Vianello, \u003Cem>Cicciona cha cha cha\u003C/em>, texte de Carlo Rossi (1961) (sous le pseudonyme de Dansavio) ; \u003Cem>Faccio finta di dormire\u003C/em>, texte de Carlo Rossi (1961)\u003C/li>\u003Cli>Peter Tevis, \u003Cem>Lonesome\u003C/em>, texte de Peter Tevis (1964)\u003C/li>\u003Cli>Zucchero Fornaciari, \u003Cem>Libera l’amore\u003C/em>, texte de Zucchero Fornaciari (1989)\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Arrangements. Recueils\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>\u003Cem>40th Commemoration Ultimate Mood. Music Collection\u003C/em> (2000)\u003C/li>\u003Cli>Roberto Altamura, \u003Cem>Canzoni d’altri tempi\u003C/em> (1960)\u003C/li>\u003Cli>Chico Buarque de Hollanda, \u003Cem>Per un pugno di samba\u003C/em> (1970)\u003C/li>\u003Cli>Chico Buarque de Hollanda, \u003Cem>Chico Buarque & Ennio Morricone\u003C/em> (2000)\u003C/li>\u003Cli>I Cantori moderni di Alessandroni, \u003Cem>La ballata dei berretti verdi\u003C/em> (1968)\u003C/li>\u003Cli>Riccardo Cocciante, \u003Cem>Anima\u003C/em> (1974)\u003C/li>\u003Cli>Dino Giacca, \u003Cem>Voce ‘e notte\u003C/em> (1960)\u003C/li>\u003Cli>Los Hermanos Rigual, \u003Cem>Los Hermanos Rigual\u003C/em> (1963) ; \u003Cem>Notte meravigliosa\u003C/em> (1964)\u003C/li>\u003Cli>Mario Lanza, \u003Cem>Canzoni napoletane\u003C/em> (1959) (sous le pseudonyme d’Alfred Arnold Cocozza) ; \u003Cem>Canzoni napoletane\u003C/em> (1962) (certaines chansons du recueil sont mises en musique par Carlo Savina) ; \u003Cem>Lanza Sings Christmas Carols\u003C/em> (1959) ; \u003Cem>The Vagabond King\u003C/em> (1961)\u003C/li>\u003Cli>Miranda Martino, \u003Cem>Napoli\u003C/em>, volume I (1963) ;\u003Cem>Le canzoni di sempre\u003C/em> (1964) ; \u003Cem>Napoli\u003C/em>, volume II (1966) ; \u003Cem>Gaston\u003C/em> (1961)\u003C/li>\u003Cli>Morrissey, \u003Cem>Ringleader of the Tormentors\u003C/em> (2006)\u003C/li>\u003Cli>Rod Mc Kuen, \u003Cem>In Search of Eros\u003C/em> (2003)\u003C/li>\u003Cli>Nilla Pizzi, \u003Cem>La regina della canzone\u003C/em> (1963)\u003C/li>\u003Cli>Rosy (Rosanna Negri), \u003Cem>Ti ho conosciuto\u003C/em> (sous le pseudonyme de Dansavio); \u003Cem>L’amore gira\u003C/em> (1965)\u003C/li>\u003Cli>Ferruccio Tagliavini, \u003Cem>Le canzoni di ieri\u003C/em> (1961)\u003C/li>\u003Cli>Peter Tevis, \u003Cem>Per un pugno di…\u003C/em> \u003Cem>West\u003C/em> (1965)\u003C/li>\u003Cli>Renzo Zenobi*, Bandierine* (1978)\u003C/li>\u003Cli>Renato Zero, \u003Cem>La curva dell’angelo\u003C/em> (2001)\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Arrangements\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>Paul Anka, \u003Cem>Dimmi se il tuo compleanno, Domani prendo il primo treno\u003C/em>, \u003Cem>Eh, brava, Estate senza te, Gli amici e tu, No, non mi puoi lasciar, Oggi no, domani si, Parliamo ancora, Senza te io me moro, Stasera resta con me\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Claudio Baglioni, \u003Cem>Questo piccolo grande amore\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Mariolino Barberis, \u003Cem>Il duca della luna, Quando a settembre\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Umberto Bindi, \u003Cem>Ave Maria, Un uomo che ti ama\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Rosario Borrelli, \u003Cem>Dietro l’angolo della tua casa, Due lune, Indovina indovina, Quando dal cielo\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Loredana Bufalieri, \u003Cem>È giusto, Tu che sei lassù\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Fabrizio Chiappucci, \u003Cem>Si questo lo so, Ti credevo felice\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Flavio Carraresi, \u003Cem>La brava gente, La mia periferia, L’ultimo pensiero\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Alida Chelli, \u003Cem>Giorni e giorni, La dedico a te\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Fausto Cigliano, \u003Cem>Napule mia, Nella mia città, Buon Natale a te\u003C/em>, \u003Cem>Ich liebe dich (Ammore mio)\u003C/em>, \u003Cem>L’ammore fa parla’ napulitano, Michelemmà\u003C/em> \u003Cem>/ Vulimmo pazzià, ‘O lampione, Reginella, Rose\u003C/em> , \u003Cem>Sciuldezza bella, Tu, si’ tu\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Dalida, \u003Cem>Ascoltami, Devo imparare\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Tony Del Monaco, \u003Cem>Concerto d’estate, Di là dal mar, Ho visto, Il re del ring, La pioggia va in su, Lungo treno del sud, Orologio, Siamo anici, Stelle di carta\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Mary Di Pietro, \u003Cem>Perché è così, Quello che conta\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Dino (Eugenio Zambelli), \u003Cem>Cerca di capire, Chi più di me, Comincia l’amore, Così come sei, Eravamo amici, Il ballo della bussola, Ma c’è un momento del giorno, Passano, Spegni questa luce, Te lo leggo negli occhi, Un’anima pura\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Placido Domingo, \u003Cem>Il coraggio di dire ti amo, Un uomo tra la folla\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Isabella Fedeli, \u003Cem>Milord, Uno a te, uno a me\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Roby Ferrante, \u003Cem>Il biliardo, No, non mi puoi lasciar, Ogni volta\u003C/em> (en Italie, le tirage du 45 t. fut d’un million cinq cents mille copies)\u003Cem>,\u003C/em> \u003Cem>Sono un ragazzo\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Nico Fidenco, \u003Cem>A casa di Irene, Exodus\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Jimmy Fontana, \u003Cem>Allora sì, Bugiarda, Cammina, cammina, Davanti a te, Estate e fumo, Il mondo, Il nostro concerto, Il poeta pianse, Non scherzare col il fuoco, Piano piano, Quello che è stato è stato\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Dino Giacca, \u003Cem>‘Spingole frangese\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Luciano Glori, \u003Cem>‘Nnamoratella, T’aspettavo\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Maurizio Graf, \u003Cem>Credo all’amore\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Il guardiano del faro (Federico Monti Arduini), \u003Cem>Il sereno e la tempesta, Non una corda al cuore\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Mario Lanza, \u003Cem>Canta pe me, Come facete mammeta, Finale, Funiculì funiculà, o’ surdato ‘namurato\u003C/em>, \u003Cem>L’alba separa dalla luce l’ombra, La mia canzone, Love for Sale, Nocturne, Ouverture and Opening Chorus, Passione, Santa Lucia luntana, Senza nisciuno, Song of the Vagabonds, Someday, Tomorrow, Vieni sul mar, Voce ‘e notte\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Louiselle (Maria Luisa Catricalà), \u003Cem>Anche se mi fai paura, Anche tu, Ascoltami, Ci sono due ragazzi, Come è bello, È triste doverti lasciare, Forse un giorno, Il pontile, La mia vita, Mia, è colpa mia, Quello che c’è tra me e te, Sorridono\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Daisy Lumini, \u003Cem>Femmine d’estate, Il gabbiano, Incantesimi, Tante piccole cose,\u003C/em> \u003Cem>Johnny Guitar\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Jenny Luna, \u003Cem>Chiodo scaccia chiodo, Blue Moon\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Miranda Martino, \u003Cem>‘A frangesa, Al posto del tuo cuore, Ballata di una donna sola, Bocca nel buio, Canzone appassiunata, Ciribiribin, Come le rose, Divinamente,‘E spingole frangese, ‘E stelle cadente, Fascination, Gaston, Incantesimo sotto la luna, I’ te vurria vasa’, L’addio, Lariulà, L’ultimo appuntamento, Mare di dicembre, Maria Mari’, Meglio stasera, Lilì Kangy, Loin, Me ne infischio, Musica ‘mpruvvisata, ‘Na sera ‘e maggio, ‘Ndringhetendra’, Ninì Tirabuscio’, Non dimenticare questa nostra estate, ‘O marenariello, ‘O paese d’’sole, ‘O sole mio, Passione, Pippo non lo sa, Piscatore ‘e Pusilleco, Santa Lucia luntana, Scetate, Serenatella co’o sì e co’o no, Silenzio cantatore, Sorridimi amore, Stasera sì, Stringiti alla mia mano, Tango italiano, Te quiero qua-qua, Te voglio bene assaie, Torna a Surriento, Vierno, Tu ca num chiagne, Tu non mi lascerai, Voce ‘e notte\u003C/em> , \u003Cem>Meravigliose labbra\u003C/em>, \u003Cem>Notte di luna calante\u003C/em>, \u003Cem>Una romantica avventura\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Gianni Meccia, \u003Cem>Adesso che hai parlato, Ci vediamo domani, Così pallida, Dove c’era una volta, Folle banderuola, I giorni caldi, Il barattolo,\u003C/em> \u003Cem>Il pullover, Il pupazzo, Io lavoro, La cabina, La ragazza di via Fattina, Le case, L’ultima lettera, Patatina, Pissi pissi, bao bao, Quelli che si amano, Sole, non calare mai, Verrà la luna\u003C/em> , \u003Cem>Il barattolo\u003C/em>, \u003Cem>Il pullover\u003C/em>, \u003Cem>Io lavoro\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Helen Merrill, \u003Cem>Estate, Nessuno al mondo, Nun è peccato, S’è fatto tardi, Nun è peccato\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Carlo Rossi, \u003Cem>You Go to My Head\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Michele (Gianfranco Michele Maisano), \u003Cem>Vado da lei\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Amedeo Minghi – Katia Ricciarelli, \u003Cem>Il profumo del tempo\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Domenico Modugno, \u003Cem>Apocalisse\u003C/em>, \u003Cem>Buon Natale a tutto il mondo\u003C/em>, \u003Cem>Mi sei entrata nell’anima\u003C/em>,\u003Cem>Apocalisse\u003C/em>, \u003Cem>Ciao ciao bambina\u003C/em> (Piove), \u003Cem>Buon Natale a tutto il mondo\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Rita Monico, \u003Cem>Gocce di mare, Non è mai tardi\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Gianni Morandi, \u003Cem>Amico Piero, Andavo a cento all’ora, Angela, C’era un ragazzo che come me amava i Beatles e i Rolling Stones, Che me ne faccio del latino, Chissà cosa farà, Deguello, Fatti mandare dalla mamma a prendere il latte, Ho chiuso le finestre, Il mondo nei tuoi occhi, Il primo whiski, Il ragazzo del muro della morte, I ragazzi dello shake, La mia ragazza, La mia voce, Notte di Ferragosto, Parli sempre tu, Povera piccola, Se fra noi qualcosa cambierà, Se perdo anche te, Se puoi uscire una domenica sola con me, Sono contento…, Sono tanto solo, Questa vita cambierà, Ti offro da bere, Ti ricordo col bikini, Tu che m’hai preso il cuor\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Donatella Moretti, \u003Cem>Attento a te, Chiaro di luna sul mare, Cosa fai dei miei vent’anni, Era più di un anno, Fino alla fine, La legge dell’amore, Le stelle in mano, Matrimonio d’interesse, Mille gocce piccoline, Nessuno sa, Non me ne importa niente della gente, Non m’importa più, Non puoi avere scordato, Non temere, Ogni felicità, Passeranno, Quando vedrete il mio caro amore, Santi di cioccolata, Se potessi, Ti chiedo scusa\u003C/em> , \u003Cem>Ti vedo uscire, Un giorno di mare, Uno solo\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Dora Musumeci, \u003Cem>Caffè e camomilla, Qualcuno ha chiesto di me\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Gino Paoli, \u003Cem>A Milano non crescono fiori, Anche se, Basta chiudere gli occhi, Che cosa c’è, Devi sapere, Domani, Ieri ho incontrato mia madre, Il cielo in una stanza, Io e tu, La collanina di latta, Le cose dell’amore, Lei sta con te, Nel corso, Perdono, Prima di vederti, Ricordati, sarà così, Sarà lo stesso, Sapore di sale, Una di quelle, Un idolo nero, Vivere ancora, Sapore di sale\u003C/em> , \u003Cem>Me in tutto il mondo,\u003C/em> \u003Cem>Senza fine\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Paolo Paolo, \u003Cem>Il cortello\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Laura Pausini, \u003Cem>La solitudine\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Alberto Pavoncello, \u003Cem>Eschteka, Iom Ascisci, Lo Amut, Vesciamerù\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Rita Pavone, \u003Cem>Plip, Supercalifragilistichespiralidoso\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Enrico Pianori, \u003Cem>Chiudo gli occhi\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Enrico Polito, \u003Cem>Che sete, Sotto il sole\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Renato Rascel, \u003Cem>Bimba, bimba mia, Gridano amore, Silent Night, Sincera\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Teddy Reno, \u003Cem>Quando finisce un amore, Una fra mille\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Katia Ricciarelli, \u003Cem>C’era una volta la terra mia\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Giacomo Rondinella, \u003Cem>So turnato cu’ tte\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Elena Rossi, \u003Cem>Occhi miei, Rossi Elena\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Rosy (Rosanna Negri), \u003Cem>Chiodo scaccia chiodo, Io sono la tua ragazza d’estate, La prima festa che darò, Non dire le bugie, Resterò da sola, Se mi vuoi ancora bene, Ti voglio come sei, Tutto l’amore del mondo, Un solo bacio mi hai dato, Un tuffo al cuore\u003C/em> \u003C/li>\u003Cli>Enzo Samaritani, \u003Cem>Ho paura di te\u003C/em>, \u003Cem>Erano nuvole\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Schola Cantorum, \u003Cem>La montanara\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Peter Tevis, \u003Cem>Maria, Notte infinita\u003C/em>, \u003Cem>Pastures of Plenty, Stanotte sì, Pastures of Plenty\u003C/em>, \u003Cem>Notte infinita\u003C/em>, \u003Cem>Jamaica Farewell\u003C/em>, \u003Cem>Pastures of Plenty\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Ornella Vanoni, \u003Cem>Anche se, Attento a te, Che cosa c’è\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Edoardo Vianello, \u003Cem>Abbronzatissima\u003C/em>, \u003Cem>Il capello\u003C/em>\u003C/li>\u003Cli>Il Peperone, \u003Cem>Guarda come dondolo\u003C/em>, \u003Cem>Ma guardatela\u003C/em>, \u003Cem>O mio Signore\u003C/em>, \u003Cem>Pinne fucile ed occhiali\u003C/em>, \u003Cem>Siamo due esquimesi\u003C/em>, \u003Cem>Tremarella\u003C/em>\u003C/li>\u003C/ul>\n\u003Cp>\u003Cstrong>Chansons dans des films\u003C/strong>\u003C/p>\n\u003Cul class=\"list-disc\">\u003Cli>Gianni Morandi, \u003Cem>Go-Kart Twist\u003C/em>, sur un texte de Pilantra (pseudonyme de Luciano Salce) (1962), \u003Cem>Adolescents au soleil\u003C/em> ( \u003Cem>Diciottenni al sole\u003C/em>) de Camillo Mastrocinque\u003C/li>\u003Cli>Edoardo Vianello, \u003Cem>Ornella, Ornella\u003C/em>, sur un texte de Luciano Salce (1959), \u003Cem>Il lieto fine\u003C/em> de Luciano Salce\u003C/li>\u003Cli>Gérard Depardieu, \u003Cem>Ricordare\u003C/em>, Andrea et Ennio Morricone, sur un texte de Pascal Quignard et Giuseppe Tornatore (1994), \u003Cem>Une pure formalité\u003C/em> (\u003Cem>Una pura formalità\u003C/em>) de Giuseppe Tornatore\u003C/li>\u003Cli>Domenico Modugno, \u003Cem>Uccellacci e uccellini\u003C/em>, sur un texte de Pier Paolo Pasolini (1966), \u003Cem>Des oiseaux petits et grands\u003C/em> (\u003Cem>Uccellacci e uccellini\u003C/em>) de Pier Paolo Pasolini\u003C/li>\u003C/ul>\n","2020-07-06T00:00:00.000Z",{"getUrl":36},"https://storage.ressources.ircam.fr/ressources/persons/photos/dca1a0eb-a85a-4a97-a301-eb368752c1f9-thumbnail.jpg?response-cache-control=public%2C%20max-age%3D31536000%2C%20immutable&X-Amz-Algorithm=AWS4-HMAC-SHA256&X-Amz-Credential=ressources%2F20251001%2Fus-east-1%2Fs3%2Faws4_request&X-Amz-Date=20251001T170125Z&X-Amz-Expires=604800&X-Amz-SignedHeaders=host&X-Amz-Signature=dd0faf01030908bf5ee96a4442eee552412e19b8c3087d24265c50ea60cc0a13","Jelmer de Haas","ennio-morricone",false,"COMPOSER",true,{"id":43,"slug":44,"title":45,"titleEn":46,"updateDate":29,"text":47,"textEn":11,"resume":11,"resumeEn":11,"translationStatus":48,"publishingStartDate":29,"source":49,"authors":50,"copyrights":54,"translators":57},"7960ac56-2c0d-45b6-847f-ebe3c93f99fb","workcourse-ennio-morricone","Parcours de l'œuvre de Ennio Morricone","Survey of works by Ennio Morricone","\u003Cp>Dans les nombreux entretiens qu’a accordés Ennio Morricone, l’expérience des Cours d’été de Darmstadt est toujours citée comme un des moments essentiels de sa formation. Il y écouta deux œuvres de Luigi Nono (\u003Ci>\u003Ca href=\"/work/cori-di-didone\">\u003Cem>Cori di Didone\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i> et \u003Ci>\u003Ca href=\"/work/il-canto-sospeso\">\u003Cem>Il canto sospeso\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i>), qui eurent sur lui l’effet d’une illumination. « Je compris que je ne pourrai jamais plus écrire deux notes sans qu’elles contiennent une réponse à certaines de mes interrogations : pourquoi cette note ? Pourquoi commencer ainsi\u003Csup>1\u003C/sup> ? » Ces paroles peuvent paraître étranges chez un musicien qui a passé une grande partie de sa vie dans le cinéma, où la musique, fonctionnelle, doit soutenir les images en mouvement et a apparemment peu à voir avec la rigueur éthique du compositeur vénitien.\u003C/p>\n\u003Cp>Chez Nono, Morricone trouve résolue l’une des tensions de ses débuts : le rapport entre rigueur formelle et force expressive, expérimentalisme et volonté de communication, abstraction et contenu. Il suffit d’évoquer la tendance à « humaniser » les procédés de la raison pour préserver la force expressive, ou la « double esthétique » du geste compositionnel, en lien direct avec le public, mais qui conserve une indéniable rigueur. Une tension qui incite certains de ses exégètes à voir en lui comme un Janus. Morricone, si connu des amateurs de musique et des cinéphiles, a longtemps vécu dans l’isolement, partiellement levé au cours des dernières années seulement.\u003C/p>\n\u003Cp>Dans la vie musicale italienne du second après-guerre, sa figure concilie l’apparente dichotomie entre musique pure et musique appliquée, quand l’avènement de l’électro-acoustique incite certains compositeurs à se confronter aux sonorisations radiophoniques et cinématographiques. Une situation qui modifiait leur statut et leur \u003Cem>forma mentis\u003C/em> pour laquelle, en travaillant à la production de radiodrames et de bandes-sons cinématographiques, ils pouvaient utiliser les mêmes instruments d’élaboration du son que l’avant-garde. Roman Vlad invitait alors « les meilleurs compositeurs contemporains à ne pas déserter le domaine du cinématographe, moins pour des raisons matérielles que pour la conscience de pouvoir contribuer à rehausser le niveau d’un genre de spectacle comme le film, lequel, qu’on le veuille ou non, joue un rôle si important dans la vie moderne et exerce une influence considérable sur le goût des grandes masses\u003Csup>2\u003C/sup> ».\u003C/p>\n\u003Cp>Morricone a vécu cette nouvelle réalité. Mais ce n’était pas sa vocation première. Il a abordé le septième art peu à peu, avant de s’engager presque entièrement dans l’univers des images en mouvement. Mais il aurait voulu suivre la ligne de \u003Ca href=\"/composer/gofredo-petrassi/biography\">Goffredo Petrassi\u003C/a> dans sa classe du conservatoire, comme ses compagnons de cours \u003Ca href=\"/composer/boris-porena/biography\">Boris Porena\u003C/a> et \u003Ca href=\"/composer/aldo-clementi/biography\">Aldo Clementi\u003C/a>, et composer de la musique pure – ce qu’il a toujours fait néanmoins, avec plus ou moins d’intensité\u003Csup>3\u003C/sup>.\u003C/p>\n\u003Cp>Le musicien, qui a travaillé pour le cinéma et les salles de concert, a aussi été actif au théâtre, à la télévision et dans l’univers de la chanson (où il a composé ou arrangé nombre de mélodies de la tradition italienne), sans oublier les films publicitaires. Cet entrelacs, irréductible à un commun dénominateur, fait de Morricone un cas presque unique de la vie musicale italienne.\u003C/p>\n\u003Ch4 id=\"th-mes\">Thèmes\u003C/h4>\n\u003Cp>Bien que la subdivision en genres détermine ses choix linguistiques – Morricone s’est toujours montré perplexe sur la vocation rotienne à passer indistinctement d’un domaine à l’autre –, certains stylèmes les rendent reconnaissables. L’activité d’arrangeur de chansons, apparemment marginale, et considérée à tort comme un simple expédient, s’est révélée utile pour le monde du cinéma. La chanson \u003Cem>Se telefonando\u003C/em>, immortalisée par Mina, présente déjà des situations que nous retrouverons dans les westerns de Sergio Leone et dans la musique pure. L’éloignement des mélodies traditionnelles et l’extrême réduction du matériau thématique, ici limité à trois sons (\u003Cem>sol\u003C/em>, \u003Cem>fa#\u003C/em>, \u003Cem>ré\u003C/em>), avec un déplacement d’accents qui tombent toujours sur un autre son, créent un effet de surprise. De tels principes, prélude aux solutions stylistiques ultérieures, traversent une grande partie de son catalogue. Citons \u003Ci>\u003Ca href=\"/work/suoni-per-dino\">\u003Cem>Suoni per Dino\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i>, l’une des œuvres les plus importantes, où les sons de la série génératrice organisent tous les éléments. La structure, simple en apparence, amorce un procédé conceptuellement complexe. La répétition, archétype linéaire, génère une verticalité obtenue par accumulation progressive. Reprise de systèmes sériels, superpositions et électronique s’y nouent. Morricone réussit à composer avec peu d’éléments et en faisant parfois référence au \u003Cem>Ricerare cromatico\u003C/em> de Girolamo Frescobaldi, archétype qui irrigue tous les genres de son catalogue, comme dans le générique de début de \u003Cem>La Bataille d’Alger\u003C/em> (1966) de Gillo Pontecorvo, où la cellule mélodique du piano et des contrebasses, sur un roulement militaire, dérive de la « série » frescobaldienne (\u003Cem>la\u003C/em>, \u003Cem>la#\u003C/em>, \u003Cem>si\u003C/em> – \u003Cem>fa#\u003C/em>, \u003Cem>fa\u003C/em>, \u003Cem>mi\u003C/em>). Et nous la retrouvons dans \u003Ci>\u003Ca href=\"/work/gestazione\">\u003Cem>Gestazione\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i>, avant la cadence pour flûte et bande magnétique.\u003C/p>\n\u003Cp>L’éloignement des procédés thématiques traditionnels est essentiel aux partitions cinématographiques de Morricone. Qu’un réalisateur et un compositeur se préoccupent de trouver les thèmes adéquats pour caractériser un film est une pratique attendue et anachronique. « Il arrive souvent, malheureusement, que les rapports avec le réalisateur se concentrent essentiellement sur les thèmes musicaux. J’ai eu bien souvent l’impression que les thèmes représentent le seul terrain sur lequel on puisse s’entendre avec des personnes qui n’ont aucune pratique de la musique, qui ne sont pas des musiciens au sens strict du terme. J’emploie ici le mot \u003Cem>thème\u003C/em> au sens classique de fil conducteur musical, que le public apprend, reconnaît et comprend, voire sifflote. Je pense qu’il y a en réalité d’autres aspects, sans doute plus subtils mais aussi importants, sinon plus, que le thème : les sonorités, les rythmes, les harmonies\u003Csup>4\u003C/sup>. »\u003C/p>\n\u003Cp>Le renoncement au thème, à ce « valet de chambre musical qui présenterait son maître d’un air entendu alors que tout le monde connaîtrait cette personnalité éminente », ainsi que l’avaient stigmatisé \u003Ca href=\"/composer/theodor-adorno/biography\">Adorno\u003C/a> et \u003Ca href=\"/composer/hanns-eisler/biography\">Eisler\u003C/a>, ouvre la musique de film à de nouveaux scénarios\u003Csup>5\u003C/sup>. Associer un personnage à un motif ou à un thème avait toujours été considéré comme efficace pour connoter esthétiquement protagonistes et situations, et dans le même temps, pour organiser d’un point de vue temporel le récit cinématographique, grâce à l’intelligibilité immédiate dudit thème. Morricone réagit à cette situation : loin du potentiel expressif et narratif de l’organisation thématique, il recherche de nouveaux espaces. Une opération délicate, loin des leviers traditionnels de la composition, mais qui permet à sa musique de répondre aux exigences du cinéma. « J’ai souvent réduit les thèmes à deux notes, à trois notes, en renonçant à faire des thèmes pour créer un fait musical et instrumental ; et cela, je l’ai mis en avant dans différents films\u003Csup>6\u003C/sup>. », dira-t-il au cours d’une table-ronde à l’Accademia Chigiana en 1990. Partant, ce ne sont pas les mélodies pensées par le compositeur et constamment recherchées par les réalisateurs qui sont importantes, mais « le mécanisme à l’intérieur duquel le thème résonne\u003Csup>7\u003C/sup> ».\u003C/p>\n\u003Cp>Dans l’impossibilité de soumettre ce matériau aux formes traditionnelles de développement, caractéristiques de la musique qui ne connaît pas les contraintes de l’écran, Morricone adopte des formes cycliques. Quelques thèmes, à l’identité forte, sont repris de manière ininterrompue, mais dans une instrumentation variée. Ces nouveaux parcours mélodiques, dans leur plasticité fragmentaire et aphoristique, « évoquent, ou plutôt, “somatisent” la poussière, le sang, les coups de feu, la sueur, les jurons et la luxure qui se trouve dans le film\u003Csup>8\u003C/sup> », ce qui sera un trait sans équivoque de l’imaginaire du réalisateur par antonomase du genre du western : Sergio Leone.\u003C/p>\n\u003Ch4 id=\"les-westerns-de-sergio-leone\">Les westerns de Sergio Leone\u003C/h4>\n\u003Cp>Dans \u003Cem>Il était une fois la révolution\u003C/em> (1971), nous trouvons les premiers usages de techniques modulaires, où chaque idée « peut être assignée potentiellement à tout instrument ou à une section orchestrale entière […], et assortie à d’autres idées ». Morricone crée ainsi des « modules musicaux », ensuite composés et recomposés dans le studio d’enregistrement\u003Csup>9\u003C/sup>. La partition prend alors le caractère d’une « œuvre ouverte » et le studio d’enregistrement devient de grande importance, de même que les délicates phases de post-production. Non seulement Morricone utilise le mixage de manière créative, mais il peut aussi être considéré comme l’initiateur d’une écriture cinématographique qui naît concrètement lors de la post-production, quand la musique libère ses potentialités en cohérence avec les exigences du film. Celle-ci se réalise au moyen de superpositions de deux bandes-sons, ou plus, enregistrées séparément.\u003C/p>\n\u003Cp>Morricone distingue deux genres de superpositions selon leur fonction, pratique ou artistique : « En ce qui concerne les premières, il peut être utile ou nécessaire qu’un instrument donné, nécessitant un soin particulier, soit enregistré indépendamment de l’orchestre, sur l’orchestre. Une autre raison incitant le compositeur à décider une superposition est qu’un groupe d’instruments produit trop de son par rapport aux autres instruments présents dans le studio, de sorte qu’il n’est plus possible de contrôler les niveaux séparément ; par exemple, les trompettes sont entrées dans le microphone des violons, et si je demande de monter les violons, elles montent aussi, inévitablement, compromettant le message, autrement dit l’équilibre des seize ou vingt-quatre pistes. […] L’autre type de superposition, selon moi plus important, est le type créatif. Dans ce cas, la musique est écrite pour être superposée, faite de sections superposables. On compose une musique disons aléatoire, libre, ouverte, où les interventions de chaque instrument et celles des sections orchestrales peuvent être presque aléatoires (mais non aléatoires par rapport à la photographie). Le matériau de la partition n’est pas écrit verticalement, mais horizontalement, puis toutes ces présences sont “verticalisables” pendant le mixage. […] Dans le mixage définitif, je peux ainsi faire des combinaisons infinies : je peux mixer la piste des cordes ou d’une partie des cordes, puis la mixer avec celle des cuivres, qui eux aussi sont libres parce qu’ils ne sont “entrés” nulle part, ou je peux mixer ces cordes avec les petits instruments, ou avec des percussions déterminées, ou encore avec les claviers\u003Csup>10\u003C/sup>. »\u003C/p>\n\u003Cp>Cet univers stylistique s’oppose aux typologies du cinéma hollywoodien, dominantes dans le cinéma italien de l’immédiat après-guerre, et aligne les choix linguistiques de Morricone sur ce que le cinéma européen poursuivait alors. Les modèles rebattus du commentaire musical redondant commençaient à le céder à d’autres, où la musique se présentait de manière plus raréfiée et en faisant usage de peu d’instruments, presque en filigrane des images. Cela se vérifie dans le cinéma de Leone, où la musique de Morricone adopte d’autres fonctions. Le binôme Leone-Morricone naît d’une convergence de caractères, qui induit un \u003Cem>modus operandi\u003C/em>. Leone n’avait pas de culture musicale, et Morricone rappelle qu’il ne chantait pas juste : « Quand il voulait indiquer mon thème, Sergio se limitait à me dire : “Celui qui fait \u003Cem>tititi\u003C/em>”, en chantonnant vaguement. À ce stade, toute ma musique pouvait se résumer à un \u003Cem>tititi\u003C/em>, et pour moi, c’était toujours un exploit de comprendre à quelle pièce il faisait référence\u003Csup>11\u003C/sup>. » Un paradoxe au regard de la respiration musicale du western à l’italienne. Pour le cinéma de Leone, la musique naissait souvent avant le début des prises de vue et accompagnait les acteurs sur le plateau, en leur permettant de s’imprégner de l’atmosphère de la scène et en permettant au réalisateur d’aborder les prises de vue en fonction du rythme final du montage. Morricone, comme l’admettra candidement le réalisateur romain, était de ce point de vue le meilleur scénariste de ses films.\u003C/p>\n\u003Cp>Morricone a notamment relaté un épisode d’\u003Cem>Il était une fois dans l’Ouest\u003C/em> (1968), au moment où le personnage de Claudia Cardinale descend du train et arrive au village. « Quand Leone m’a raconté le film, il ne m’a pas dit qu’il y aurait une horloge sur le bâtiment de la gare qu’il cadrerait. Pour cette scène, j’ai composé une pièce avec vibraphone et célesta, et ce choix aléatoire en a fait comme un son d’horloge, et bien au-delà. L’actrice passe des quais à la place devant la gare en traversant l’édifice, et dans le même temps, la caméra monte – un \u003Cem>dolly\u003C/em> classique –, élargissant le champ jusqu’à inclure les montagnes à l’horizon. Là, j’avais écrit un pont, avec un \u003Cem>crescendo\u003C/em> qui menait à la reprise du thème, mais je ne savais pas que Leone transformerait ce pont musical en un pont cinématographique, grâce auquel la femme qui entre dans la gare disparaît et revient dans le cadre à sa sortie, de l’autre côté du bâtiment\u003Csup>12\u003C/sup>. »\u003C/p>\n\u003Cp>La collaboration avec Leone permet à Morricone de faire montre de son style. Le renoncement au thématisme est absolu et le compositeur dessine des accords immobiles à l’intérieur desquels se produisent des événements sonores. L’instrumentation recherchée, incluant des timbres d’origine populaire, comme la guimbarbe de \u003Cem>Et pour quelques dollars de plus\u003C/em> (1965), se double d’une utilisation avisée des bruits, qui font de certaines situations des réflexions implicites sur le son. Il suffit de penser à la séquence initiale d’\u003Cem>Il était une fois dans l’Ouest\u003C/em>, où l’attente des trois bandits est scandée par des bruits récurrents, avec un motif de lamentation de trois sons périodiques, dont l’image révélera qu’il provient du grincement des ailes d’un moulin\u003Csup>13\u003C/sup>.\u003C/p>\n\u003Cp>La « trilogie du dollar » appelle d’autres considérations sur l’instrumentation. On y trouve des timbres comme le sifflet, le fouet, la guimbarde, l’harmonica et la guitare acoustique, d’autres issus de l’univers rock et des « pseudo-symphoniques » : chœurs vocalisant ou orchestre à cordes. L’ensemble donne vie à un univers composite qui, selon Miceli, permet à Morricone de communiquer avec un large public. La musique de Morricone a la capacité de se faire élément symbolique et narratologique du film. En effet, ces micro-éléments s’identifient aux personnages et deviennent leur trait distinctif, mais pas seulement. Dans \u003Cem>Le Bon, la Brute et le Truand\u003C/em> (1966), la bande-son est si riche d’éléments concrets (carillon, voix humaine, bruits…) qu’ils se relient aux images au point d’acquérir parfois l’indépendance d’une voix narrative.\u003C/p>\n\u003Ch4 id=\"autres-collaborations\">Autres collaborations\u003C/h4>\n\u003Cp>Si l’amitié avec Leone s’est imposée dans l’imaginaire collectif, il ne faut pas oublier les collaborations avec nombre d’autres réalisateurs. Rappelons celle avec Dario Argento, dès 1970, avec \u003Cem>L’Oiseau au plumage de cristal\u003C/em>, avant \u003Cem>Le Chat à neuf queues\u003C/em> et \u003Cem>Quatre Mouches de velours gris\u003C/em> (1971). Cette collaboration permet à Morricone de redessiner les typologies de la musique pour le cinéma d’horreur avec l’« envie d’appliquer un langage plus contemporain et dissonant, en ayant recours à des techniques qui allaient au-delà l’expérience de Webern\u003Csup>14\u003C/sup> ». Après une longue interruption, due aux rapports difficiles avec le producteur Salvatore Argento, père du réalisateur, qui n’appréciait guère sa recherche expérimentale, la collaboration reprend quinze ans plus tard avec \u003Cem>Le Syndrome de Stendhal\u003C/em> (1996), puis \u003Cem>Le Fantôme de l’opéra\u003C/em> (1998).\u003C/p>\n\u003Cp>D’un vif intérêt est aussi la participation de Morricone au cinéma de Pasolini. Née d’une équivoque avec \u003Cem>Des oiseaux petits et grands\u003C/em> (1966)\u003Csup>15\u003C/sup>, elle se prolongera jusqu’à \u003Cem>Salò ou les cent vingt journées de Sodome\u003C/em> (1975), en passant par \u003Cem>La Terre vue de la lune\u003C/em> (1966), \u003Cem>Théorème\u003C/em> (1968) et la « trilogie de la vie » : \u003Cem>Le Décameron\u003C/em> (1971), \u003Cem>Les Contes de Canterbury\u003C/em> (1972) et \u003Cem>Les Mille et Une Nuits\u003C/em> (1974). Dans ces films, Morricone sélectionne des matériaux, écrit pour \u003Cem>Salò\u003C/em> une série dodécaphonique, qui commente la mort de l’art, et présente des moments de grande originalité, comme dans le générique de début de \u003Cem>Des oiseaux petits et grands\u003C/em>. C’est un chef-d’œuvre d’écriture musicale, au point que Miceli fait de cette ballade, chantée par Domenico Modugno, une « synthèse compositionnelle de Morricone dans le cinéma\u003Csup>16\u003C/sup> ». L’effectif instrumental riche et varié, rappelant les univers sonores des westerns de Leone, avec cloches, castagnettes, guitares et trompette, soutient la pulsation rythmique, secondant l’apologue et l’affabulation du texte. D’autres éléments peuvent être rapportés à la spécificité de sa musique, comme le swing, avec cuivres, batterie et guitare électrique, les développements auxquels sont soumises des cellules motiviques, la conduite par mouvement contraire des parties et la recherche constante du \u003Cem>sound\u003C/em> avec cuivres en sourdine, chœur parlé, guitare Fender, voire l’orgue « détoné », comme la partition l’indique, peu avant la conclusion. Dans le finale, nous assistons à un authentique pointillisme dans les parties de piano et d’orgue. Cette écriture reflète la vocation extra-stylistique de Morricone, et met aussi en évidence la contamination stylistique si chère à Pasolini, et qui a inspiré sa production poétique et cinématographique.\u003C/p>\n\u003Cp>Sous le signe de l’extra-stylisme naissent, dans les années 1960 et 1970, des compositions sur des textes pasoliniens : \u003Ci>\u003Ca href=\"/work/caput-coctu-show\">\u003Cem>Caput Coctu Show\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i>, \u003Ci>\u003Ca href=\"/work/meditazione-orale\">\u003Cem>Meditazione orale\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i> et \u003Ci>\u003Ca href=\"/work/tre-scioperi\">\u003Cem>Tre scioperi\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i>. La première témoigne d’une matrice stylistique fortement pasolinienne dans sa contamination entre une écriture recherchée, empruntant au \u003Cem>Sprechgesang\u003C/em> et aux pratiques de l’\u003Cem>Ars Nova\u003C/em>, comme le \u003Cem>hoquetus\u003C/em>, et une instrumentation prosaïque. Dans la deuxième, la voix du poète récite des vers sur un fond sonore où alternent musique atonale, bruits et silences soudains. Dans la troisième, enfin, la musique de Morricone remonte certaines unités du texte, avec une grande liberté.\u003C/p>\n\u003Cp>Il convient de mentionner aussi la musique pour \u003Cem>Le Désert des Tartares\u003C/em> (1976) de Valerio Zurlini, articulée en deux thèmes, celui de Drogo et celui du désert. Sa cohésion structurelle est due aux caractéristiques opposées, mais complémentaires, de ces thèmes. Une telle dialectique, singulière, crée une situation que Miceli décrit ainsi : « Le concept d’“immobilité dynamique”, présent dans de nombreuses autres partitions, y compris pour le concert, revient, de même que, autre face de la même médaille, cette spatialité horizontale/verticale qui est peut-être la caractéristique la plus intéressante de ce style compositionnel. Il en résulte un accord avec les images qui, dans ce film, a le don rare de l’introspection vertigineuse, de la profondeur métaphysique\u003Csup>17\u003C/sup>. » L’immobilité dynamique semble être la résultante du langage de Morricone. Les paramètres de sa musique serait son être même ; l’improvisation organisée, l’interaction entre les identités compositionnelles, et l’immobilité dynamique, le devenir de l’œuvre. Le tout donne vie à cette équation : « Modalité + improvisation organisée = immobilité dynamique\u003Csup>18\u003C/sup>. »\u003C/p>\n\u003Cp>Pour Elio Petri, Morricone expérimente un langage insolitement avancé dans les inventions timbriques, auxquelles il juxtapose des modèles baroques, avec des revisitations schizophréniques d’arpèges modulants à la Bach. Dans les bandes-sons d’\u003Cem>Un coin tranquille à la campagne\u003C/em> (1968), \u003Cem>Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon\u003C/em> (1970) et \u003Cem>La classe ouvrière va au paradis\u003C/em> (1971), il établit un rapport articulé et complexe avec l’avant-garde, impliquant aussi le Groupe d’improvisation Nuova Consonanza et utilisant le synket de Paul Ketoff, dont Antonioni s’était déjà servi dans \u003Cem>L’Avventura\u003C/em> (1960). L’utilisation du bruitisme, qui s’organise en forme musicale, permet à Morricone d’interpréter le rapport homme-machine, alors que sa musique pure (la \u003Ci>\u003Ca href=\"/work/musica-3\">\u003Cem>Musica per 11 violini\u003C/em>\u003C/a>\u003C/i>, composée des années auparavant (1958) et revisitée pour les exigences du film) reflète les pulsions intérieures du protagoniste. « La première composante musicale représenterait la composante “matiérique”, “objectuelle”, de l’obsession de Leonardo, alors que la seconde dénote sa composante corporelle, libidinale\u003Csup>19\u003C/sup>. »\u003C/p>\n\u003Cp>Parmi les films donnant les meilleurs résultats, citons \u003Cem>Allonsanfan\u003C/em> (1974) de Paolo et Vittorio Taviani, où musique et images participent d’une commune identité poético-narrative, et \u003Cem>Mission\u003C/em> (1986) de Roland Joffé. Ici, la bande-son est même en mesure de mettre en communication le spectateur avec la dimension intérieure des personnages à travers l’instrument. Père Gabriel, protagoniste de \u003Cem>Mission\u003C/em>, annonce sa présence aux Guaranis par un hautbois et un thème, « son » thème, qui reviendra au cours du récit en multipliant les niveaux narratifs. De ce point de vue, le film de Joffé représente l’un des meilleurs exemples d’une nouvelle dramaturgie, où la musique est une émanation des personnages, qui échappe à tout artifice d’accompagnement ou de commentaire. Parmi les collaborations récentes, signalons celle avec Quentin Tarantino pour \u003Cem>Kill Bill\u003C/em>, \u003Cem>Boulevard de la mort\u003C/em>, \u003Cem>Inglorious Basterds\u003C/em> et \u003Cem>Django Unchained\u003C/em>. Selon des modalités tout à fait différentes, la collaboration avec Tornatore semble, elle, naître d’une grande amitié\u003Csup>20\u003C/sup>.\u003C/p>\n\u003Ch4 id=\"conclusion\">Conclusion\u003C/h4>\n\u003Cp>Estimé des cinéphiles et des amateurs de chanson italienne, qui associent son nom à une longue liste de thèmes à succès, et des amateurs de musique \u003Cem>tout court\u003C/em>, surtout ces dernières décennies, quand sa musique pure a commencé à être appréciée, Morricone est un protagoniste indiscuté de la vie musicale du xx\u003Csup>e\u003C/sup> siècle. Son legs, surtout dans le domaine cinématographique est considérable. Dario Marianelli a ainsi déclaré dans un entretien : « J’ai une grande affection pour la musique de Rota et sa sensibilité. Je la trouve généreuse, émotive. Morricone est différent : j’éprouve plutôt un sentiment de gratitude, parce qu’il a rompu les barrières invisibles et apporté au cinéma un sens de l’invention sonore ayant révolutionné la musique de film\u003Csup>21\u003C/sup>. »\u003C/p>\n\u003Col class=\"list-decimal\">\u003Cli>Sergio MICELI, \u003Cem>Morricone, la musica, il cinema\u003C/em>, Milan / Modène, Ricordi / Mucchi, 1994, p. 37.\u003C/li>\u003Cli>Roman VLAD, « Condizione del musicista che compone per il cinema », \u003Cem>Il Diapason\u003C/em>, IV/3-4 (1953), p. 16.\u003C/li>\u003Cli>Ce désir transparaît dans une déclaration qui se veut un manifeste de poétique, où se mesure sa distance des modèles qui sévissaient dans le septième art. « Pour bien fonctionner dans un film, la musique doit avoir et conserver ses caractéristiques formelles – rapports tonaux, rapports mélodiques si l’on veut, rapports rythmiques, rapports entre les instruments – bref, une dialectique interne correcte. S’il y a cette correction formelle (et d’abord technique) de la musique appliquée à l’image, le résultat sera assurément meilleur » (Ennio MORRICONE et Sergio MICELI, \u003Cem>Comporre per il cinema. Teoria e prassi della musica per film\u003C/em>, Venise, Marsilio, 2001, p. 63).\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, « Un compositeur derrière la caméra », \u003Cem>Musiques. Une encyclopédie pour le xxi\u003Csup>e\u003C/sup> siècle\u003C/em>, vol. I : \u003Cem>Musiques du xx\u003Csup>e\u003C/sup> siècle\u003C/em>, Arles / Paris, Actes Sud / Cité de la musique, 2003, p. 798-799 (traduction modifiée).\u003C/li>\u003Cli>Theodor W. ADORNO et Hanns EISLER, \u003Cem>Musique de cinéma\u003C/em> [1947], Paris, L’Arche, 1997, p. 15.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, « Incontro con Nicola Piovani, Paolo Taviani e Mario Monicelli », \u003Cem>Chigiana\u003C/em>, LXII/22 (1990), « Musica e cinema, atti del convegno internazionale di studi », sous la direction de Sergio Miceli, p. 109.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, « Quello che la musica ancora non può svelare », dans Luca Bandirali, \u003Cem>Musica per l’immagine\u003C/em>, Frosinone, Net Art Company, 2003 p. 33.\u003C/li>\u003Cli>Ennio SIMEON, \u003Cem>Per un pugno di note\u003C/em>, Milan, Rugginenti, 1995, p. 227.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, \u003Cem>Inseguendo quel suono. La mia musica, la mia vita. Conversazioni con Alessandro De Rosa\u003C/em>, Milan, Mondadori, 2016, p. 239-240 ; \u003Cem>Ma musique, ma vie\u003C/em>, Paris, Séguier, 2018, p. 326-327. Avec le recul, pour le travail avec Dario Argento, Morricone dira avoir recueilli ses idées dans deux « livrets » appelés \u003Cem>Multipla\u003C/em>.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE et Sergio MICELI, \u003Cem>Comporre per il cinema\u003C/em>, \u003Cem>op. cit.\u003C/em>, p. 129.\u003C/li>\u003Cli>Ennio Morricone, dans Francesco DE MELIS, « Leone e Morricone – Silenzio di suoni », \u003Cem>Dolce vita\u003C/em>, III/22-23 (1989), p. 13.\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE et Sergio MICELI, \u003Cem>Comporre per il cinema\u003C/em>, \u003Cem>op. cit.\u003C/em>, p. 68.\u003C/li>\u003Cli>« Le rapport entre musique et bruit est dynamique, flexible, et les éléments deviennent presque interchangeables. Par rapport au final d’\u003Cem>Il était une fois dans l’Ouest\u003C/em>, Leone affirme : “Je traite moi-même les bruits de manière particulière parce que, pour moi, les bruits sont de la musique. À un certain point, j’ai mis des bruits qui étaient beaucoup plus fascinants, beaucoup plus ‘musicaux’, si l’on veut, que la musique” » (\u003Cem>Il buono, il brutto e il cattivo\u003C/em>, sous la direction d’Angela PRUDENZI et Sergio TOFFETTI, Rome, Quaderni della Cineteca, 2000, p. 38).\u003C/li>\u003Cli>Ennio MORRICONE, \u003Cem>Inseguendo quel suono\u003C/em>, \u003Cem>op. cit.\u003C/em>, p. 239 ; \u003Cem>Ma musique, ma vie\u003C/em>, \u003Cem>op. cit.\u003C/em>, p. 326.\u003C/li>\u003Cli>« Il arriva et me donna une liste de musiques : Mozart, Bach et d’autres. Je regardai la liste et lui dis : “Excusez-moi Pasolini, vous vous êtes trompé en m’appelant, parce que j’écris de la musique, je ne prends pas la musique des autres compositeurs pour l’appliquer aux films.” Il me dit : “Ah ! Mais non, alors faites-la. Faites comme vous le pensez. Faites la musique que vous désirez.” Et il me fit faire la musique que je désirais. Ça a été émouvant. À rester bouche ouverte. Incroyable. Il pouvait dire : “Je m’excuse de vous avoir dérangé” » (Antonio BERTINI, « Intervista a Ennio Morricone », \u003Cem>Teoria e tecnica del film in Pasolini\u003C/em>, Rome, Bulzoni, 1979, p. 169).\u003C/li>\u003Cli>Sergio MICELI, \u003Cem>Morricone, la musica, il cinema\u003C/em>, \u003Cem>op. cit.\u003C/em>, p. 186.\u003C/li>\u003Cli>\u003Cem>Ibid.\u003C/em>, p. 262.\u003C/li>\u003Cli>Alessandro De Rosa, dans Ennio MORRICONE, \u003Cem>Inseguendo quel suono\u003C/em>, \u003Cem>op. cit.\u003C/em>, p. 312 ; \u003Cem>Ma musique, ma vie\u003C/em>, \u003Cem>op. cit.\u003C/em>, p. 420.\u003C/li>\u003Cli>Maurizio CORBELLA, \u003Cem>Musica elettroacustica e cinema in Italia negli anni Sessanta\u003C/em>, Thèse de doctorat, Università degli Studi di Milano, 2010, p. 177.\u003C/li>\u003Cli>Cette amitié est parcourue, en termes descriptifs, dans Manuela DRAGONE, \u003Cem>Pura musica pura visione. Ennio Morricone e Giuseppe Tornatore. Da\u003C/em> Nuovo cinema paradiso \u003Cem>a\u003C/em> La migliore offerta, Cosenza, Pellegrini, 2013.\u003C/li>\u003Cli>Giacomo MANFRED, « La musica, il cinema, le emozioni. Un incontro con Dario Marianelli », \u003Cem>Normalenews\u003C/em>, 3 febbraio 2009 (\u003Ca href=\"https://normalenews.sns.it/la-musica-il-cinema-le-emozioni-un-incontro-con-dario-marianelli\">https://normalenews.sns.it/la-musica-il-cinema-le-emozioni-un-incontro-con-dario-marianelli\u003C/a>, lien vérifié le 22 novembre 2019).\u003C/li>\u003C/ol>\n","to do","",[51],{"firstName":52,"lastName":53},"Roberto","Calabretto",[55],{"name":56},"Ircam-Centre Pompidou",[],["Reactive",59],{"$si18n:cached-locale-configs":60,"$si18n:resolved-locale":65,"$snuxt-seo-utils:routeRules":66,"$ssite-config":67},{"fr":61,"en":63},{"fallbacks":62,"cacheable":41},[],{"fallbacks":64,"cacheable":41},[],"en",{"head":-1,"seoMeta":-1},{"_priority":68,"currentLocale":72,"defaultLocale":73,"description":74,"env":75,"name":76,"url":77},{"name":69,"env":70,"url":71,"description":69,"defaultLocale":71,"currentLocale":71},-3,-15,-2,"en-US","fr-FR","Ressources IRCAM est une plateforme de ressources musicales et sonores, développée par l'IRCAM, pour les artistes, les chercheurs et les passionnés de musique.","production","Ressources IRCAM","https://ressources.ircam.fr",["Set"],["ShallowReactive",80],{"/workcourse/ennio-morricone":-1,"flat pages":-1},"/en/composer/ennio-morricone/workcourse"]