Une nouvelle écologie artistique intègre un principe d’interdépendance et de continuité de toutes les formes du vivant, reliées entre elles. Les technologies sont explorées comme outil de communications inter-espèces, aspirant à connecter des mondes aux limites de la perception humaine. Au cœur de cette « pensée écologique », le réseau est devenu « maillage », vecteur de « l’interconnectivité entre toutes les choses vivantes et non-vivantes » selon les mots de Timothy Morton.
Connecter le vivant
Une nouvelle écologie artistique intègre un principe d’interdépendance et de continuité de toutes les formes du vivant, reliées entre elles. Les technologies sont explorées comme outil de communications inter-espèces, aspirant à connecter des mondes aux limites de la perception humaine. Au cœur de cette « pensée écologique », le réseau est devenu « maillage », vecteur de « l’interconnectivité entre toutes les choses vivantes et non-vivantes » selon les mots de Timothy Morton.