La partition d’origine était souvent écrite sur plusieurs portées par clavier. Les versions de la présente partition, réduites à un nombre minimum de portées par clavier et par main, ont été réalisées en collaboration avec Françoise Rieunier et Xavier Darasse. Je les remercie vivement.
À la suite d’Erikhthon pour piano et orchestre, Gmeeoorh (anagramme libre de « organon ») poursuit la recherche d’une généralisation du principe mélodique, en utilisant des arborescences (clonations) linéaires qui subissent des transformations homothétiques, des rotations, des distortions, des expansions, etc.
La registration et les jeux indiqués constituent un modèle à respecter autant que possible. Ne s’en écarter qu’en restant dans, et en s’inspirant de, l’esprit et les sonorités de ce modèle.